Ipso Facto | Fouilles et étude d'architecture navale de l'épave Tank Bay 1
Dans le cadre du projet de recherche mené par Jean-Sébastien Guibert (Université des Antilles) sur l’Archéologie des navires perdus pendant la guerre d’Indépendance Américaine (1775-1783), des recherches ont été menées conjointement sur le terrain et dans les archives pour tenter d’identifier l’épave du Lyon, ex-Beaumont, un navire de 900 tx de la Compagnie des Indes lancé à Lorient en 1762. Une expertise a été menée sur l’épave de Tank Bay 1 en collaboration avec le National Park of Antigua and Barbuda à English Harbour et Hélène Botcazou a été chargée de l’étude d’archéologie navale de l’épave et de la construction navale des navires de la Compagnie des Indes.
archéologie sous-marine, fouilles, étude architecture navale, tank bay, antigua, ipso facto
18525
portfolio_page-template-default,single,single-portfolio_page,postid-18525,ajax_fade,page_not_loaded,,qode-content-sidebar-responsive,qode-child-theme-ver-9.4,qode-theme-ver-13.3,qode-theme-bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-5.4.5,vc_responsive
 

Etude d’architecture navale de Tank Bay 1 (Antigua) – 2021

Category
Archéologie, Étude, Opération
Fouilles archéologiques / Étude d’architecture navale
SITE
Épave de Tank Bay 1
(English Harbour, Antigua, Antigua & Barbuda)
CLIENT
Université des Antilles
DATE
2021
RÉALISATION
Hélène Botcazou / Ipso Facto
PRÉSENTATION
Dans le cadre du projet de recherche mené par Jean-Sébastien Guibert (Université des Antilles) sur l’Archéologie des navires perdus pendant la guerre d’Indépendance Américaine (1775-1783), des recherches ont été menées conjointement sur le terrain et dans les archives pour tenter d’identifier l’épave du Lyon, ex-Beaumont, un navire de 900 tx de la Compagnie des Indes lancé à Lorient en 1762.
Une expertise a été menée sur l’épave de Tank Bay 1 en collaboration avec le National Park of Antigua and Barbuda à English Harbour et Hélène Botcazou a été chargée de l’étude d’archéologie navale de l’épave et de la construction navale des navires de la Compagnie des Indes.
Crédits photos : Jean-Sébastien Guibert (Université des Antilles)